Comment partir quand on vous regarder comme cala? Il avait l'air encore plus tourmenter que moi. Ne pas savoir comment tout cela allais se finir maintenant me rendais folle. Je restais, je prenais le risque de souffrir, je partais, il souffrirais...Cruelle dilemme. Mais j'avais cruellement besoin de lui dans mon quotidien, je ne pouvais me le cacher. Partir maintenant c'était passer presque tout mes soirée chez moi a me morfondre ou dans les bras d'un quelconque inconnue avec qui je ne pourrais pas rigoler au réveil, ou tenter n'importe quel idée farfelu qui me traversais la tête sans me prendre pour une folle. J'eus un sourire en repensant a tout nos exploits touts plus fous les uns que les autres. En bref personne ne pourrais le remplacer et même si cette perspective me comblerais un temps elle ne serait le faire indéfiniment.

J'avais toujours mes yeux plonger dans ce bleu si profond et si triste a l'heure actuelle. Si il y avais une chose que je ne voulais pas c'était le rendre malheureux. Je m'approchais de lui doucement le prenant dans mes bras.

"Je peux plus partir de toute façon..."

Cette phrase s'adressait autant a Carter cas moi même. C'était trop tard pour reculer, c'était trop tard pour regretter et c'était trop tard pour craindre la souffrance, et le sentir à ce moment même contre moi valait bien toute les peines du monde. L'emprise qu'il avait sur moi maintenant était plus grande qu'il ne pouvais l'imaginer, il foulais une terre que peu de gens avait parcourus. Il allait dors et déjà connaitre qui j'étais vraiment, une fille qui n'a rien d'une dur à cuire, qui ne se moquais pas de tout ce qui pouvais bien arriver, une fille qui ne risquerais plus d'être si mystérieuse a ses yeux.

"Excuses moi..." Je le serrais un peu plus contre moi. "Je suis désoler...".

Je m'en voulais de lui avoir fais une scène pareille, de l'avoir mis sur le fait accompli. C'était égoïste de ma part. Je me rendais bien compte que jusqu'à présent je n'avais jamais ris en compte les sentiments des autres. Que je fuyais uniquement pour moi laissant des pots casser derrière moi. Je comprenais mieux la réaction d'Elena après mon départ en Italie. Et Camron... Je secouais la tête essayant de bannir ses pensées peux plaisante de ma tête. C'était du passer, et j'en avais tirer une bonne leçon aujourd'hui...